Lost roots / Lost memory / we new, 2017 Série de 77 dessins
Pastels à l’huile de couleur sur papier Hahnemühle 185gr 21 X 29,7 cm chacun
© François Fernandez
Dans chaque fleur sont incrustés des mots : « lost memory », « lost roots », « lost place ».
Les deux taches de « Blind Spot » symbolisent le refus de voir. Ces dessins font allusion à l’amnésie qui fait suite aux con its et se manifeste tant sur le plan physique qu’autobiographique, politique et philosophique. Cette série de 77 dessins compose une sorte de champs de fleurs aux couleurs porteuses de vie et de mort, de présence et d’absence. S’y inscrit la quête d’un intense désir de régénérescence, la poursuite d’un nouveau “nous’’ — une fraicheur à l’intérieure de l’aurore, un printemps permanent à la fois physique et spirituel.
Black Box, 2016 - 2017 Série de 6 hybrides.
Goudron siliconé, caoutchouc, lave noire, acrylique sur toile Dimensions variables Les boîtes noires se métamorphosent en échantillons de revêtement de murs réalisés avec des matériaux de maçonnerie, des appareils électroniques, ou des minéraux. Elles évoquent la chambre noire et le goudron que Nicéphore Niepce utilisait pour l’héliographie, l’ancêtre de la photograhie.
© François Fernandez
Fleurs After War / Blind Spot, 2015-2016 Série de 33 dessins,
J’ai réalisé ces pastels dans mon atelier, dans le sud de Tel Aviv, le quartier des réfugiés Érythréens qui font face aux tours des « Gated Communities » aisées. Les lles et garçons morts par les caprices des Dieux dans Ovide deviennent ici des fleurs ou des arbres, rappelant les métaphores des gerbes de fleurs tressées par les Romains pour leurs morts. Fleurs / After War / Blind Spot sont ces fleurs noircies par la pollution physique et politique. Leur tiges en fer graissé, leurs « jambes » et leurs racines sont comme les socles sur lesquels on fixe les missiles anti-roquettes. Ce sont des beautés verticales ; vues de loin, elles forment un champ de fleurs noirs hybrides où le féminin et masculin jouent le jeu de la séduction.
© François Fernandez
Poèmes, Hannah Arendt, 2016 Série de 43 dessins
Pastel à l’huile de couleur sur papier Hänemhule 190gr
Série de 43 dessins signés au dos 84,1 x 59,4 cm
© François Fernandez
L’archétype d’une lettre bascule en tache ou en trait. L’utilisation de l’allemand, que je ne parle pas, me permet de me projeter ailleurs, d’être un autre. Une autre langue s’installe alors. Les amours que l’on retrouve dans les poèmes d’Hannah Arendt deviennent tantôt des fleurs, tantôt des écritures métamorphosées en blés solaires, tantôt des titres : You and Me, Me and You. Les doubles flèches, renvoient aux allers et venues de printemps jaunes ou roses, à la subjectivité des amoureux allongés dans les champs de blés, aux paysages extrasolaires. Les repères géographiques et temporels sont effacés et cèdent la place à un fond blanc et « sonore », sur lequel viennent s’inscrire les traumas et les souvenirs.
Poèmes, Hannah Arendt, 2016 Série de 43 dessins
Pastel à l’huile de couleur sur papier Hänemhule 190gr
Série de 43 dessins signés au dos 84,1 x 59,4 cm
© François Fernandez
L’archétype d’une lettre bascule en tache ou en trait. L’utilisation de l’allemand, que je ne parle pas, me permet de me projeter ailleurs, d’être un autre. Une autre langue s’installe alors. Les amours que l’on retrouve dans les poèmes d’Hannah Arendt deviennent tantôt des fleurs, tantôt des écritures métamorphosées en blés solaires, tantôt des titres : You and Me, Me and You. Les doubles flèches, renvoient aux allers et venues de printemps jaunes ou roses, à la subjectivité des amoureux allongés dans les champs de blés, aux paysages extrasolaires. Les repères géographiques et temporels sont effacés et cèdent la place à un fond blanc et « sonore », sur lequel viennent s’inscrire les traumas et les souvenirs.
Poèmes, Hannah Arendt, 2016 Série de 43 dessins
Pastel à l’huile de couleur sur papier Hänemhule 190gr
Série de 43 dessins signés au dos 84,1 x 59,4 cm
© François Fernandez
L’archétype d’une lettre bascule en tache ou en trait. L’utilisation de l’allemand, que je ne parle pas, me permet de me projeter ailleurs, d’être un autre. Une autre langue s’installe alors. Les amours que l’on retrouve dans les poèmes d’Hannah Arendt deviennent tantôt des fleurs, tantôt des écritures métamorphosées en blés solaires, tantôt des titres : You and Me, Me and You. Les doubles flèches, renvoient aux allers et venues de printemps jaunes ou roses, à la subjectivité des amoureux allongés dans les champs de blés, aux paysages extrasolaires. Les repères géographiques et temporels sont effacés et cèdent la place à un fond blanc et « sonore », sur lequel viennent s’inscrire les traumas et les souvenirs.
Poèmes, Hannah Arendt, 2016 Série de 43 dessins
Pastel à l’huile de couleur sur papier Hänemhule 190gr
Série de 43 dessins signés au dos 84,1 x 59,4 cm
© François Fernandez
L’archétype d’une lettre bascule en tache ou en trait. L’utilisation de l’allemand, que je ne parle pas, me permet de me projeter ailleurs, d’être un autre. Une autre langue s’installe alors. Les amours que l’on retrouve dans les poèmes d’Hannah Arendt deviennent tantôt des fleurs, tantôt des écritures métamorphosées en blés solaires, tantôt des titres : You and Me, Me and You. Les doubles flèches, renvoient aux allers et venues de printemps jaunes ou roses, à la subjectivité des amoureux allongés dans les champs de blés, aux paysages extrasolaires. Les repères géographiques et temporels sont effacés et cèdent la place à un fond blanc et « sonore », sur lequel viennent s’inscrire les traumas et les souvenirs.
Poèmes, Hannah Arendt, 2016 Série de 43 dessins
Pastel à l’huile de couleur sur papier Hänemhule 190gr
Série de 43 dessins signés au dos 84,1 x 59,4 cm
© François Fernandez
L’archétype d’une lettre bascule en tache ou en trait. L’utilisation de l’allemand, que je ne parle pas, me permet de me projeter ailleurs, d’être un autre. Une autre langue s’installe alors. Les amours que l’on retrouve dans les poèmes d’Hannah Arendt deviennent tantôt des fleurs, tantôt des écritures métamorphosées en blés solaires, tantôt des titres : You and Me, Me and You. Les doubles flèches, renvoient aux allers et venues de printemps jaunes ou roses, à la subjectivité des amoureux allongés dans les champs de blés, aux paysages extrasolaires. Les repères géographiques et temporels sont effacés et cèdent la place à un fond blanc et « sonore », sur lequel viennent s’inscrire les traumas et les souvenirs.
En face:
Ich fürchte mich vor der schwarzen erde wie soll ich fort ? 2017
( I am afraid of the black earth how shall I go? 2017 )
À gauche: Fleurs After War / Blind Spot, 2015-2016 Série de 33 dessins
© François Fernandez
Métamorphose Hybride, 2016-2017
Goudron, poudre de fer, poudre de cuivre,
poudre d’or et de malachite sur toile,
ruban de ponçage Signé au dos
18 x 14 x 2 cm
© François Fernandez
Furrow testimony, 2016-2017
Goudron, lave, poudre de fer, acrylique,
encre noir du japon sur toile
Signé au dos
60 x 40 x 3 cm
© François Fernandez
Black Box (Trace), 2016-2017
Goudron siliconé et acrylique sur bois
Signé au dos
20 x 20 x 3 cm
© François Fernandez
Savagery without form 2016-17
Goudron siliconé sur toile. Signé au dos
Signé au dos
27 x 22 x 3 cm
© François Fernandez
L’avortement de l’incertitude ( homage à Pierre Tal Coat ), 2016-17
The abortion of uncertainty (tribute to Pierre Tal Coat)
Goudron siliconé et acrylique sur toile. Signé au dos
20 X 12 X 3 CM.
© François Fernandez
Ich fürchte mich vor der schwarzen erde wie soll ich fort ? 2017
( I am afraid of the black earth how shall I go? 2017 )
Pastel à l’huile, peinture aérosol goudronné avec réhaut d’argent, cire sur toile. Signé au dos. 170 X 126 CM.
© François Fernandez